Sénégal : l'État clôt la phase de test de la 4G
7 Mai 2015
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Après plus d'un an et demi de test de la 4G au Sénégal, l'Etat a mis fin à l'expérimentation le 31 mars à 23h59. À ce jour, aucun terrain d'entente n'a été trouvé entre les opérateurs nationaux et le gouvernement.
La phase pilote de la 4G au Sénégal ne sera pas prolongé une seconde fois. Initialement prévu d'avril 2013 à décembre 2014, un délai de 3 mois avait été accordé à tous les opérateurs nationaux (Sonatel, Expresso et Tigo) pour leur permettre de tester gratuitement le service très haut débit sur mobile. Mais au terme de ces expérimentations, "les propositions reçues des opérateurs ont été jugées insuffisantes", explique le ministère des Télécommunications dans un communiqué.
Aucun appel d'offres
Le lancement commercial de la 4G au Sénégal est donc retardé. Aucun appel d'offres n'est à l'ordre du jour. "Des réajustements sont nécessaires autant sur le plan financier que sur les aspects techniques à savoir la couverture, l'aménagement numérique du territoire ou les services proposés", développe la direction des Télécoms contactée par Jeune Afrique.
L'Etat fera appel à un cabinet d'étude international "pour obtenir les meilleurs résultats possibles dans l'exploitation de cette technologie 4G", et entend commercialiser les licences d'ici à la fin de l'année 2015.
www.jeuneafrique.com
La phase pilote de la 4G au Sénégal ne sera pas prolongé une seconde fois. Initialement prévu d'avril 2013 à décembre 2014, un délai de 3 mois avait été accordé à tous les opérateurs nationaux (Sonatel, Expresso et Tigo) pour leur permettre de tester gratuitement le service très haut débit sur mobile. Mais au terme de ces expérimentations, "les propositions reçues des opérateurs ont été jugées insuffisantes", explique le ministère des Télécommunications dans un communiqué.
Aucun appel d'offres
Le lancement commercial de la 4G au Sénégal est donc retardé. Aucun appel d'offres n'est à l'ordre du jour. "Des réajustements sont nécessaires autant sur le plan financier que sur les aspects techniques à savoir la couverture, l'aménagement numérique du territoire ou les services proposés", développe la direction des Télécoms contactée par Jeune Afrique.
L'Etat fera appel à un cabinet d'étude international "pour obtenir les meilleurs résultats possibles dans l'exploitation de cette technologie 4G", et entend commercialiser les licences d'ici à la fin de l'année 2015.
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